HOMMAGES des personnalités
cher Jacques, Je viens d’apprendre le décès de Firmin et l’hospitalisation de J-M Ruer.
Je suis abasourdie, triste et aussi en colère.
J’imagine dans quel état tu dois être ainsi que tous les membres de l’association.
Transmets Tout mon soutien et toute mon amitié à vous tous qui avaient partagé tant de chose avec Firmin.
J’espère que JM Ruer se remettra vite
Bien à vous tous
Éliane Isidore adjointe aux sports de la ville de Martigues”
Nous présentant ses condoléances et son amitiés à tous les membres du club ainsi qu’à la famille de Firmin
Gérard Frau Conseiller Départemental du canton
A l’annonce du décès de notre ami Firmin ESTEBAN, je viens au nom de l’interclubs vous présenter
nos sincères condoléances ainsi qu’à sa famille et ses amis.
Nous n’oublierons pas l’homme au chapeau.
Amitiés.
Jean Claude VOSSENAT.
Je viens d’avoir la triste nouvelle de l’accident et du décès de notre ami Esteban Firmin, au nom du Comité Départemental 13 je présente des sincères condoléances pour toute sa famille et pour vous ses amis et membre du club de Martigues.
Au fur et à mesure ou vous avez des éléments pour les obsèques me transmettre les informations.
Une bien triste nouvelle.
Fédération Française de Cyclotourisme
Président Comité des Bouches du Rhône
Nous avons appris cette triste nouvelle du décès de notre ami Firmin.
C’est toujours triste d’appendre la disparition d’un proche surtout dans ces circonstances.
Le Rayon d’Or de la Crau présente à toute sa famille ainsi qu’à votre club ses plus sincères condoléances et qu’ils soient assurés de toute notre sympathie et de notre soutien dans ces moments difficiles.
Personnellement je garderai de Firmin le souvenir d’un homme jovial et sympathique pour l’avoir rencontré régulièrement aux réunions et sorties de l’Interclub.
Joseph LYVINEC
Après les photos les hommages de ses amis
je reçois beaucoup de photos, il y en a déjà pas mal maintenant…. je suis obligé de rejeter les photos de groupe , il y en a déjà beaucoup.
A
Hommages à Firmin
C’est trop dur, c’est trop brutal, c’est trop injuste.
Pourquoi maintenant, pourquoi ce dimanche, pourquoi cette voiture, pourquoi si tôt ?
Dimanche soir, je n’ai pas trouvé le sommeil, j’ai grelotté toute la nuit ; le Mistral avait forci, comme en colère. Georges venait de m’apprendre, tard dans la soirée, brutalement, l’horrible nouvelle de la matinée ; j’ai dû m’asseoir…
Il ne s’en est pas allé, comme on peut partir après une longue maladie, après de longues longues années…, il a été fauché, il ne faisait qu’être sur le bord de la route, d’une route sur laquelle nous passons bien souvent.
L’hélico est venu pour essayer de te sauver, il est reparti… Il était venu aussi, il y a quelques années, pour un cyclo gignacais, lors d’une sortie de Pentecôte, et reparti aussi… Vous allez vous rencontrer.
Aujourd’hui lundi, le vent souffle encore plus fort, comme s’il voulait tout casser…
Firmin, je commençais à peine à te connaître, et déjà je t’appréciais tout particulièrement, sur la route, aux pique-niques, au bureau, comme tous les cyclos martégaux ainsi que ceux des alentours, connu que tu étais dans le département, de par ton engagement dans le milieu cyclotouriste.
A la dernière Assemblée générale, tu prenais le poste, au sein du Club, de Vice-Président, poste mérité après des années d’implication et de dévouement. Je prenais bien modestement, auprès de Gérard, une partie de tes anciennes responsabilités, heureux que j’étais de faire partie de cette nouvelle équipe. Tu t’es tant consacré et ce, depuis nombre d’années, au bon fonctionnement de ce Club. Tout nouveau, tu m’avais accueilli chaleureusement.
Sache que tu vas nous manquer, sur nos routes, dans nos cœurs, dans nos vies. Tous les cyclos garderont en mémoire ta gentillesse, ton dévouement, ton sourire témoin de ta bonne humeur ; les Clubs en ont profité aussi et se souviendront de l’homme au chapeau, ils nous l’ont déjà écrit.
Qu’il sera dur d’avoir la force de repartir, de reprendre cette route appelée « du Delà », et d’arriver à ces Quatre-chemins, où le tien, quelques pédalées avant, s’est tragiquement arrêté !
Nos pensées vont vers ta famille, avec toute notre affection.
Nous pensons à Jean Michel et à sa grande détresse, alité à l’hôpital ; il était encore une fois avec toi, vous rouliez les deux seuls ce matin-là ; lui, blessé s’en remettra physiquement, nous lui souhaitons ; moralement, il ne doit rien se reprocher.
Mais « VERDÉ », Firmin, que le VERT t’ouvre de nouvelles routes là-haut, « y no ROJO » (et non ROUGE), comme tu le claironnais en espagnol à chaque feu tricolore ! Roule comme tu aimais rouler !
HASTA LUEGO Firmin.
René C.
Je crois que personne n’a bien dormi dans cette nuit du dimanche 5 au lundi.
Firmin je l’avais vu le matin partir joyeux avec les trois autres courageux comme il m’a dit avant de partir… partir….
C’est vrai que ça aurait pu arriver à n’importe qui, à toi, à moi. Firmin on entend encore sa voix, on voit encore son sourire. Tout pour les autres, toujours dispo pour le club, pour les restos du cœur, pour sa famille, son petit-fils, sa mère.
Il était toujours là pour aider avec sa camionnette blanche à transporter les pizzas, les bouteilles d’eau, les ravitaillements. Tous les lundis avec Vincent on descendait au club. Si l’OM avait perdu on n’en parlait pas … si l’OM avait gagné alors son sourire illuminait. Mais moi qui n’aimait pas particulièrement le foot à qui je vais parler de l’OM maintenant … et puis juste ce jour-là l’OM gagne 5 à zéro à Caen …. Il n’a pas eu cette dernière joie … si peut être qui sait ? lui qui était croyant.
Quand même ce Firmin un sacré personnage ! toujours de toutes les réunions du club, de l’inter club de toutes les sorties Week end de tous les défis, le BRA les cyclo montagnardes et j’en passe. Il était toujours là avec son chapeau, sa casquette ou son casque.
Il en a vu des présidents de club et lui donnait toujours son avis. Il n’était pas toujours d’accord mais il donnait toujours son avis toujours avec son sourire, calmement, surement, avec intelligence, sans énervement mais fermement. L’autorité douce mais respectée.
Je parle de Firmin mais mes yeux se brouillent. Mes yeux se mouillent, je ne peux plus.
MS
Le mot d’Alex
Comme évoqué, je me suis souvenu de cette soirée passée avec Firmin. Un lieu qu’il fréquentait régulièrement même s’il n’en tirait pas toujours une grande satisfaction, mais il demeurait « aficionado » de cette équipe de l’OM.Souvenirs de nos « chambrages » sur le sujet lors de nos sorties vélo.TendressesAlex
|
![]() |
![]() |
Nouveaux venus au Club, nous n’avons pas eu le temps de faire un long chemin ensemble, mais nous avons pu te côtoyer lors de nos séjours à Rosas, dans le Varou lors des manifestations du Club et Thierry bien sur lors de vos sorties à vélo. Tu étais quelqu’un de très jovial, très attentionné, et humain et tu manqueras à tous tes amis du vélocar tu étais très présent dans la vie du Club.Nous sommes tellement tristesQuant à Jean Michel nous te souhaitons un prompt rétablissement au niveau physique et psychologique et de te revoir bientôt en pleine forme.Thierry et Ghislaine. |
Un petit mot d’ Alain et Bernadette Pantel.
C’est grâce à toi Firmin que j’ai intégré le club, nous nous étions rencontrés par hasard sur le chemin de la Papaille et tu m’avais très vite convaincu avec ton parlé légendaire de venir rejoindre ta bande de copains.
Nous étions très proches ,nous échangions souvent sur l’état de santé de nos parents, la progression des petits enfants.
Lorsque Bernadette a rejoint le club , nous te voyons encore , planté en haut de St Blaise à nous attendre patiemment toujours au même endroit.
Merci pour tout ce que tu nous as apporté, tu vas nous manquer à tous.
Une nouvelle étoile brille dans le ciel peut être arrivera t elle à apaiser notre peine.
Paix à toi Firmin et courage à ta famille si brusquement éprouvée.
Compadre,
Je te rencontrais au moins une fois par semaine à Auchan et toujours coiffé de ton éternel chapeau.
Que dire de la surprise de VIVI(mon épouse)lors de notre première rencontre. On se bise et tu lui fais aussi la bise sans jamais l’avoir vue.
Ce rituel va durer 10ans jusqu’à ce jour maudit.
Comme Michel S et René C je ne peux pas continuer. Oui je pleure.
Mon ami, je penserai à toi à chaque sortie et je te chercherai pendant longtemps encore à Auchan.
Je t’aime mon ami,
On t’aime AMIGO.
Là où tu vas prends, soin de toi et envoie nous quelques petits signes à ta famille en premier et à nous lors de nos sorties.
Adios Amigo Vamos.
Gépetto parfois appelé Georges Pétrucci
Firmin était un ami, un voisin, il était aussi mon » frère de vélo « : comment continuer sans lui, il m’attendait, m’encourageait, et s’il prenait un peu d’avance dans le peloton, je le cherchais. Après mon accident c’est lui qui m’a encouragé à reprendre. C’était aussi un ami-voisin , on s’aidait lors de travaux dans nos maisons, après on buvait un ou deux verres de vin et on refaisait le monde. C’était un homme bon, chaleureux, je ne l’ai jamais entendu prononcer une parole malveillante, il va me manquer cruellement et aujourd’hui comme tous les copains du club, je pleure.
J’apprécie cette solidarité qu’il y a entre nous, ce partage et cette amitié, nous avons besoin de nous voir pour parler de notre ami.
Mes pensées affectueuses vont à Martine, ses enfants et petit-fils.
Vincent M.
C’est grâce à toi que je suis rentré au club, tu connaissais ma femme au resto du cœur, et au cours d’un repas de fin de saison où j’étais invité, tu m’as convaincu d’adhérer au club, alors qu’à l’époque je roulais souvent seul.
Au fur et à mesure des sorties j’ai appris à te connaître et à t’apprécier.
Moi qui es toujours aimé les longues distances et les brevets montagnards, j’arrive à convaincre une poignée de volontaires pour ce genre d’exercice, et tu y es venu petit à petit, les premières sorties quelques fois difficilement, mais ta volonté t’a permis de progresser, surtout que tu avais vite compris qu’il ne fallait pas se griller d’entrée.
Tu le disais tout le temps « je pars à ma main, vous m’attendrez en haut »
Souvient toi le premier brevet montagnard fait en une journée, trop dur pour beaucoup, et tu me dis alors « l’année prochaine si on le fait pas en deux jours je ne viens pas »
Et tu avais bien raison car depuis tu a apprécié tous ceux que nous avons fait depuis.
Même si quelques fois c’était dur…… mais tu étais toujours demandeur pour la saison suivante.
Puis fin octobre 2012, à la suite d’une AGO qui avait fini en queue de poisson, nous nous retrouvâmes un soir chez Jean-Luc, tous les trois et nous décidâmes de faire repartir le club en provoquant une AGE et de nouvelles élections.
Je nous revois encore, toi disant je continue la trésorerie, Jean-Luc disant je ferais le secrétariat, et tous les deux se retournant vers moi « tu prends la présidence »
Et voilà comment nous avons vécu ensemble au sein du comité directeur pendant cinq ans, quelques fois pas d’accord, mais nous avions avec toi toujours des discussions franches et constructives. Tu es un homme aimant le dialogue, la conciliation, et chose importante, avec des arguments convaincants, tu pouvais changer d’avis.
Une belle image de toi, c’est cette année au BRA, en montant le Galibier, où tu nous as laissé sur place Alex et moi, « tu avais la santé »
Tu as du retrouver notre ami Fernand, et tout les deux vous aurez des histoires de cyclistes à vous raconter.
Tu seras avec nous dans nos sorties sur certains endroits où nous aurons des anecdotes te concernant. Ta jovialité au sein du peloton va nous manquer.
Nos pensées affectueuses pour ta femme, tes enfants et ton petit-fils
Danielle et Jacques Ch.
Firmin mon ami ,l’ami de tous ceux qui l’ont connu.
Tu m’as montré la voix de la sagesse et de la modestie, et tu m’as apporté du bonheur a chaque fois que je t’ai côtoyé.
Ton regard rempli d’amour coincé entre un chapeau original et une barbe volontairement désordonnée ne peut pas disparaître.
Tu es a jamais dans ma mémoire, et tu seras toujours la quelque part a mes cotes.
Adios amigo jamas te olvidaremos.
Marc Gimenez.
Lettre d’un ami de son village de Saint Drézéry (Hérault) :
Monsieur le président du Cyclo Club de Martigues je vous remets cette lettre au nom d’anciens amis de Firmin de son village de Saint Drézéry
J’ai appris l’affreuse nouvelle lundi après-midi.
Ça m’a bouleversé il faut dire que je connais Firmin depuis presque 40 ans, lorsque je me suis installé dans son village
Nous habitons à 50 m de la maison de sa maman. Tout de suite nous avons joué au foot ensemble et ça a duré jusqu’à ce que Firmin pose les crampons et prenne le vélo.
Nos enfants ont le même âge que Sabine et Antoine. Ils sont de suite devenu amis. Nous pensons beaucoup à eux ainsi qu’à Martine son épouse et notre amie
Des souvenirs me reviennent lorsque en 2013 une délégation de votre club est venue faire une randonnée chez nous. Quelle belle journée nous avons passé. Plusieurs sont revenus dont Jean Mi, nous lui souhaitons un prompt rétablissement
Je viens de visionner la vidéo sur le site du club et ça m’a bouleversé.
Firmin vas nous manquer, il va manquer à beaucoup de monde mais jamais nous ne l’oublierons
Redondo Antoine et sa famille
A FIRMIN
T’avoir à mes côtés en tant que vice-président, qu’ espérer de mieux ! .Tu avais déjà pris toute ta place.
Il me semble déjà t’ entendre t’écrier après ce dimanche fatal.
» PUTAIN DE VOITURE « .
Quelques photographies souvenir ne trouvant pas les mots pour exprimer ce que je ressens.
B.R
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
« J ‘ai perdu un petit frère ». (G.L)
![]() |
![]() |
![]() La randonnée de 2013 Départ de son village natal |
![]() |
![]() |
Rencontre à Aureille avec Michel Drucker |
![]() |
![]() |
La lettre de Jezabel à son papa envoyé dimanche 12 novembre 2017
5 Novembre 2017, 11:30.
12 Novembre 2017, 11:30.
Ça y est, ça fait pile poil une semaine.
Le temps passe à une vitesse incroyable. Je vais à la douche comme dimanche dernier à la même heure, en me disant que je vais t’attendre pour manger. Mais où es-tu ? Quand vas-tu rentrer ? Je ne vais pas déjeuner toute seule!
Ce dimanche là, ce n’est pas toi qui a franchi la porte mais la police, pourquoi?
Tant de questions qui demeureront sans réponses.
Mon papa, mon merveilleux papa. Ce n’est pas juste. Mais si tu avais été là aujourd’hui, tu m’aurais certainement dit qu’il y a beaucoup de choses injustes dans la vie, qu’on ne peut expliquer ou changer.
Tu t’occupais de tout, on pouvait ne penser à rien grâce à toi parce que tu gérais à notre place.
J’ai du mal à parler de toi au passé.
Avec maman, Antoine et Sabine, quand nous avons vu tout ce monde … Nous savions que tu étais aimé, mais à ce point? Ça nous a fait chaud au cœur, et tout les jours de nouveaux témoignages sur toi et sur ce que tu apportais aux gens, une vrai star !!
On était pas du genre à se dire nos sentiments dans la famille, de nature pudique, à ton image. Mais on savait, on sait, on a toujours su.
Je t’embrasse papa! Embrasse papé.
Ta Jeze.
elle nous envoie cette photo:
Hommage à notre ami Firmin (édité sur le site des vélos des étangs )Dimanche 5 novembre, Firmin s’est fait faucher par une auto sur la route du Dela alors qu’il effectuait une randonnée en compagnie de Jean Michel, celui-ci est gravement blessé.
|
![]() |